La crypto monnaie est un outil d'échange numérique sécurisé et transparent qui garanti
la bonne tenue des transactions tout en maximisant leur niveau de sécurité et la traçabilité des échanges.
Entre vous et votre client, plus d'intermédiaire.
Cette formation est destinée aux débutants qui souhaitent découvrir les termes couramment utilisés dans le domaine de la blockchain et les concepts qui se cachent derrière. Ce guide existe sous forme de pdf téléchargeable.
J'ai également rédigé un ensemble de fiches autour de différents projets crypto, celles-ci sont consultables et téléchargeables.
Celle-ci remonte aux années 1960, lorsque le département de la Défense des États-Unis, via son agence de recherche avancée, la DARPA, a commencé à chercher des moyens de connecter les ordinateurs entre eux. Le but était de permettre aux chercheurs de partager des données et de communiquer plus facilement.
En 1969, l'ARPANET a été créé, reliant quatre universités américaines. Il s'agissait d'un réseau de transmission de paquets de données qui permettait aux ordinateurs de communiquer entre eux. Ce réseau est considéré comme le précurseur d'Internet.
Au fil des années, l'ARPANET s'est étendu et s'est développé. En 1983, un protocole de communication appelé TCP/IP a été développé pour permettre aux ordinateurs de différents réseaux de communiquer entre eux. Ce protocole a jeté les bases d'Internet tel que nous le connaissons aujourd'hui.
L'un des principaux contributeurs au développement d'Internet a été le scientifique britannique Tim Berners-Lee, qui a créé le World Wide Web en 1989. Cette invention a permis de rendre l'Internet plus accessible et plus convivial pour les utilisateurs non-techniques.
Bien qu’actuellement nous sommes habitués à une utilisation sans fil d’internet. Il ne faut pas perdre de vue, que cela repose sur une infrastructure bien physique et palpable dont voici les éléments clés :
Le web d'aujourd'hui est principalement basé sur une architecture client-serveur. Lorsqu'un utilisateur accède à un site web, son navigateur envoie une requête à un serveur web pour obtenir les données nécessaires pour afficher le site. Le serveur web traite la requête et envoie une réponse contenant les données demandées au navigateur de l'utilisateur.
Le contenu du site web est généralement créé à l'aide de langages de balisage (mise en page) tels que HTML, CSS et JavaScript. HTML est utilisé pour décrire la structure de la page, CSS pour définir l'apparence et le style, et JavaScript pour ajouter des fonctionnalités dynamiques et interactives.
Les sites web modernes utilisent également des frameworks (boîte à outils logiques) et bibliothèques côté client, tels que React, Angular et Vue.js, pour simplifier le développement et offrir des fonctionnalités avancées.
Cependant, cette architecture client-serveur est souvent centralisée, ce qui signifie qu'un petit nombre d'entreprises ou d'organisations contrôlent la majorité du contenu et des données sur le web.
Les services tels que Google, Facebook, Amazon et Twitter sont devenus des acteurs majeurs du web en offrant une variété de services et de fonctionnalités à des milliards d'utilisateurs dans le monde entier.
Bien que ces entreprises offrent des avantages tels qu'une expérience utilisateur fluide et une grande commodité, elles sont également vulnérables aux attaques de piratage et peuvent potentiellement utiliser les données des utilisateurs de manière abusive.
C'est là qu'intervient la technologie de la blockchain. La blockchain est un registre numérique décentralisé qui permet de stocker et de transférer des données de manière transparente, sécurisée et résistante à la censure.
Contrairement au web centralisé, la blockchain n'a pas de point central de contrôle, mais est plutôt gérée par un réseau de participants qui valident les transactions et maintiennent le registre.
Le web décentralisé basé sur la blockchain offre une sécurité et une résistance à la censure accrues, car il n'y a pas de point unique de vulnérabilité.
Les données sont stockées de manière distribuée sur un grand nombre de nœuds, ce qui rend le système résistant aux attaques malveillantes. De plus, les utilisateurs ont un contrôle total sur leurs données, car ils peuvent choisir de les stocker et de les partager de manière sélective.
Cependant, le web décentralisé est encore en développement et présente des défis en matière de convivialité et de facilité d'utilisation.
Les applications basées sur la blockchain sont souvent plus lentes et plus coûteuses à utiliser que les applications centralisées traditionnelles, et l'interface utilisateur peut être plus difficile à comprendre pour les utilisateurs novices.
En fin de compte, le choix entre le web centralisé et le web décentralisé dépend des besoins et des préférences de chaque utilisateur.
Les avantages de la sécurité et de la résistance à la censure du web décentralisé doivent être équilibrés avec les avantages de la commodité et de la convivialité du web centralisé, le tout reposant sur une infrastructure commune.
La cryptographie est l'art de protéger les messages en les rendant difficiles à comprendre pour quiconque ne possède pas la clé pour les déchiffrer. Elle est utilisée depuis des milliers d'années pour protéger les secrets diplomatiques, militaires, commerciaux et journalistiques.
L'histoire de la cryptographie remonte à l'Antiquité, où des méthodes rudimentaires étaient utilisées pour cacher des messages. Les Grecs utilisaient par exemple la scytale, un bâton cylindrique autour duquel le message était enroulé, pour le protéger des espions ennemis.
Cependant, c'est pendant la Renaissance que la cryptographie a connu une avancée significative grâce à des personnalités telles que Blaise de Vigenère et Johannes Trithemius. En 1466, Trithemius publia "Polygraphia", un livre qui détaillait les techniques de cryptographie pour protéger les communications. Vigenère, quant à lui, a créé un système de chiffrement polyalphabétique qui portera son nom.
Au 20ème siècle, la cryptographie a connu une révolution grâce à l'utilisation de machines pour chiffrer les messages. La machine Enigma utilisée par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale est devenue célèbre pour avoir été décryptée par les Alliés grâce aux travaux de cryptanalystes comme Alan Turing.
Depuis les années 1970, la cryptographie a connu un développement sans précédent grâce à l'avènement de l'informatique et d'Internet. Les algorithmes de chiffrement modernes, tels que le RSA et l'AES, sont basés sur des mathématiques complexes et sont utilisés pour sécuriser les communications sur Internet.
Les cypherpunks sont un groupe d'individus qui ont émergé dans les années 1980 et 1990 et qui ont joué un rôle important dans le développement de la cryptographie moderne et de la vie privée en ligne.
Ils étaient motivés par l'idée que la vie privée était un droit fondamental et que la cryptographie était un moyen de préserver cette vie privée dans un monde de plus en plus numérique. Ils croyaient que l'utilisation de la cryptographie pouvait permettre aux individus de communiquer librement et anonymement, sans crainte de surveillance ou de censure.
Les cypherpunks ont développé des logiciels de chiffrement tels que Pretty Good Privacy (PGP), qui permettaient aux utilisateurs de chiffrer leurs communications électroniques. Ils ont également créé des réseaux anonymes tels que Tor, qui permettaient aux utilisateurs de naviguer sur Internet sans être suivis.
Ils ont également joué un rôle dans le développement de la cryptomonnaie, avec des membres du groupe tels que Wei Dai qui ont proposé des idées de monnaies numériques anonymes dès les années 1990. Satoshi Nakamoto, le créateur de Bitcoin, a également été influencé par les idées des cypherpunks lorsqu'il a développé la première cryptomonnaie décentralisée, Bitcoin.
La cryptographie joue un rôle central dans la blockchain, c’est la technologie sous-jacente de nombreuses cryptomonnaies telles que Bitcoin et Ethereum. La cryptographie est utilisée pour garantir l'intégrité et la sécurité des transactions enregistrées sur le réseau.
Plus précisément, la blockchain utilise un algorithme de hachage cryptographique pour sécuriser les blocs de transactions. Chaque bloc contient un hachage cryptographique unique qui est calculé à partir des données du bloc précédent et des nouvelles transactions ajoutées au bloc. Ce mécanisme crée une chaîne de blocs contenant une séquence de hachages cryptographiques qui sont tous liés les uns aux autres. Cela garantit que les blocs ne peuvent pas être modifiés sans altérer tous les hachages cryptographiques suivants.
La blockchain utilise également la cryptographie pour la validation des transactions. Les transactions sont signées à l'aide de clés privées et publiques cryptographiques. Les clés publiques sont utilisées pour recevoir des fonds, tandis que les clés privées sont utilisées pour signer les transactions et prouver la propriété des fonds. Cette méthode de cryptographie asymétrique permet de garantir l'authenticité des transactions sans révéler la clé privée.
La blockchain utilise également des mécanismes de consensus basés sur la cryptographie pour garantir la validité des transactions. Par exemple, le mécanisme de consensus Proof of Work (PoW) utilise la puissance de calcul pour résoudre des problèmes mathématiques complexes. Ce processus de résolution de problèmes mathématiques utilise la cryptographie pour garantir la sécurité et l'intégrité de la blockchain.
En somme, la cryptographie joue un rôle crucial dans la sécurité et l'intégrité de la blockchain. Sans la cryptographie, la blockchain ne serait pas en mesure de garantir la confidentialité, l'authenticité et la sécurité des transactions.
La blockchain est un registre décentralisé, qui est partagé et géré par un réseau de nœuds qui travaillent ensemble pour valider les transactions.
Chaque nœud dispose d'une copie de la blockchain et vérifie chaque transaction pour s'assurer qu'elle est valide avant de l'enregistrer sur la blockchain. Une fois qu'une transaction est enregistrée sur la blockchain, elle ne peut plus être modifiée ou supprimée, créant ainsi une base de données immuable et transparente.
La blockchain utilise des algorithmes de cryptographie pour garantir que les transactions sont sécurisées et inviolables. Chaque transaction est vérifiée par un processus de consensus, qui implique plusieurs nœuds qui travaillent ensemble pour valider la transaction et garantir que chaque nœud de la blockchain est synchronisé avec les autres.
Les utilisateurs de la blockchain ont un contrôle total sur leurs données, car ils peuvent choisir de stocker leurs données de manière décentralisée sur la blockchain, plutôt que de les confier à une autorité centrale. Les utilisateurs peuvent également choisir de partager leurs données de manière sélective, en utilisant des clés de cryptage pour contrôler l'accès à leurs données.
Le web centralisé repose sur l'idée d'une autorité centrale qui contrôle et gère les données et les transactions. Cela peut poser des problèmes en termes de sécurité, de confidentialité et de liberté, car l'autorité centrale peut être vulnérable aux attaques et peut potentiellement utiliser les données des utilisateurs de manière abusive.
Le concept de la blockchain a le potentiel de transformer la société en créant des systèmes plus transparents, résistants à la censure et décentralisés. Voici quelques exemples de son rôle potentiel dans la société :
Cependant, il est important de noter que la blockchain n'est pas une solution miracle et qu'elle présente également des défis et des limites, notamment en termes de scalabilité (répartition de la charge d’utilisation sur le réseau), de convivialité et de gouvernance. Il est donc important de peser les avantages et les inconvénients de la blockchain dans chaque cas d'utilisation spécifique.
Il existe plusieurs types de blockchain, dont voici les principaux :
Ces différents types de blockchain ont des fonctionnalités et des avantages spécifiques, en fonction des besoins et des objectifs de l'organisation ou du projet.
La blockchain est un système de validation et de transaction décentralisé, qui fonctionne en utilisant des nœuds (ou des ordinateurs) à travers le réseau. Voici comment cela fonctionne en détail :
La blockchain est sécurisée grâce à la nature décentralisée de son réseau et à l'utilisation de la cryptographie. Chaque bloc contient un code de hachage unique qui le relie au bloc précédent. Cela rend la blockchain immuable et garantit que toutes les transactions sont enregistrées de manière permanente sur la blockchain.
En résumé, la blockchain utilise un système de validation et de transaction décentralisé qui permet aux participants du réseau de vérifier et de valider les transactions de manière transparente et immuable de façon sécurisé.
Le consensus est un élément crucial dans la blockchain car il permet de garantir que les données sur la blockchain sont exactes, sécurisées et vérifiées de manière transparente.
Le consensus permet aux différents acteurs de la blockchain, tels que les mineurs, les validateurs et les nœuds, de se mettre d'accord sur l'état de la blockchain en vérifiant les transactions et en validant les nouveaux blocs.
Le consensus est nécessaire car la blockchain est une base de données décentralisée qui ne dépend pas d'une autorité centrale pour vérifier les transactions. Au lieu de cela, les différents acteurs de la blockchain travaillent ensemble pour valider les transactions et créer de nouveaux blocs.
Si l'algorithme de consensus ne parvient pas à trouver un consensus entre les nœuds du réseau, cela peut entraîner une bifurcation de la chaîne de blocs, ce qui crée deux ou plusieurs chaînes de blocs distinctes qui se développent en parallèle.
Dans une telle situation, les mineurs du réseau peuvent continuer à travailler sur les deux chaînes, créant ainsi deux versions différentes de la blockchain. Cela peut entraîner une division de la communauté, car certains utilisateurs peuvent choisir de suivre une chaîne plutôt qu'une autre, ce qui peut entraîner une perte de confiance dans la blockchain.
Pour éviter cela, la plupart des protocoles de blockchain ont des mécanismes pour résoudre les divergences et les bifurcations. Par exemple, dans le cas de Bitcoin, la règle est que la chaîne la plus longue est considérée comme la chaîne valide.
Les mineurs sont incités à travailler sur la chaîne la plus longue car cela leur permet de gagner plus de récompenses en blocs. De cette manière, la communauté est en mesure de trouver un consensus sur la version légitime de la blockchain.
Dans le monde de la blockchain, il existe différents types de minage, selon l'algorithme de consensus utilisé par la blockchain en question. Les trois types de minage les plus courants sont le minage de preuve de travail (Proof of Work), le minage de preuve de participation (Proof of Stake) et le minage de preuve de capacité (Proof of Capacity).
Il existe également d'autres types de consensus, tels que, consensus par preuve de temps (Proof of Time), le consensus par preuve de vote (Proof of Vote), et le consensus par preuve de contribution (Proof of Contribution), qui sont utilisés par certaines blockchains pour garantir la sécurité et la fiabilité de leurs transactions.
Chaque type de consensus a ses avantages et ses inconvénients, et le choix de l'algorithme de consensus dépend souvent des objectifs spécifiques de la blockchain en question.
La preuve de travail (PoW) est un système de consensus utilisé dans de nombreuses blockchains, notamment dans Bitcoin. Le principe de la preuve de travail est d'utiliser la puissance de calcul des ordinateurs pour résoudre des problèmes mathématiques complexes et valider les transactions pour ensuite les intégrer dans de nouveaux bloc et les ajouter ajouter à la blockchain. C’est cet ensemble qu’on appelle minage.
Dans le système PoW, les mineurs (les utilisateurs qui fournissent la puissance de calcul) sont chargés de trouver une solution à un problème mathématique complexe. Ce problème est conçu pour être difficile à résoudre, mais facile à vérifier une fois la solution trouvée. Pour résoudre le problème, les mineurs doivent effectuer des millions de calculs par seconde jusqu'à ce qu'ils trouvent la solution.
La difficulté du problème est ajustée de manière à ce qu'il ne soit pas résolu trop rapidement. L'objectif est de maintenir une moyenne de temps de blocs (le temps nécessaire pour valider un bloc) d'environ 10 minutes. Si les mineurs résolvent le problème trop rapidement, la difficulté est augmentée. Si les mineurs mettent trop de temps à résoudre le problème, la difficulté est réduite.
Lorsqu'un mineur trouve la solution au problème mathématique, il la soumet au réseau pour vérification. Les autres mineurs vérifient la solution pour s'assurer qu'elle est correcte, et si elle l'est, le mineur qui a trouvé la solution est récompensé par une quantité de crypto-monnaie. En même temps, le nouveau bloc contenant les transactions validées par le mineur est ajouté à la blockchain.
La preuve d'enjeu (PoS) est un autre système de consensus utilisé dans certaines blockchains. Contrairement à la preuve de travail (PoW), la preuve d'enjeu ne repose pas sur la puissance de calcul, mais sur la détention d'une certaine quantité de crypto-monnaie.
Dans le système PoS, les validateurs (au lieu des mineurs dans la PoW) sont sélectionnés en fonction de la quantité de crypto-monnaie qu'ils ont "mis en jeu" ou "enjeuée". Lorsque les validateurs détiennent une certaine quantité de crypto-monnaie, ils ont un intérêt financier à maintenir la sécurité et l'intégrité de la blockchain.
Pour devenir un validateur, il faut donc posséder une certaine quantité de crypto-monnaie de la blockchain. Les validateurs sont ensuite sélectionnés de manière aléatoire pour valider les blocs et ajouter de nouvelles transactions à la blockchain.
Les validateurs qui réussissent à ajouter un bloc valide sont récompensés par des frais de transaction et par une partie des nouvelles unités de crypto-monnaie créées dans ce bloc.
Lorsque les validateurs tentent de tricher ou de compromettre la sécurité de la blockchain, ils risquent de perdre leur enjeu (c'est-à-dire la quantité de crypto-monnaie qu'ils ont mise en jeu pour devenir un validateur). Cela les encourage à agir de manière responsable et à maintenir la sécurité de la blockchain.
La preuve d'enjeu est souvent considérée comme une alternative plus économe en énergie et plus écologique à la preuve de travail, car elle ne nécessite pas une puissance de calcul aussi importante que la preuve de travail. Cependant, elle peut poser des défis pour la distribution initiale de la crypto-monnaie et la sélection des validateurs.
La preuve de capacité (PoC), également appelée preuve d'espace, est un système de consensus alternatif à la preuve de travail (PoW) et à la preuve d'enjeu (PoS) utilisé dans certaines blockchains.
Contrairement à la PoW qui nécessite une puissance de calcul importante et à la PoS qui nécessite la détention d'une certaine quantité de crypto-monnaie, la PoC utilise la capacité de stockage disponible sur un disque dur pour sécuriser la blockchain.
Dans un système PoC, les mineurs (ou "provers" en anglais) allouent une partie de leur espace de stockage pour stocker une grande quantité de données aléatoires appelées "plots".
Ces plots sont utilisés pour résoudre un algorithme de hachage spécifique qui permet de trouver une solution valide pour ajouter un nouveau bloc à la blockchain. Les mineurs qui résolvent l'algorithme de hachage le plus rapidement sont récompensés par des frais de transaction et par des nouvelles unités de crypto-monnaie créées dans ce bloc.
Le processus de création des plots peut prendre du temps et nécessiter une grande quantité de stockage. Une fois que les plots sont créés, l'utilisation du stockage est réduite et la consommation d'énergie est relativement faible.
La PoC est considérée comme une alternative plus écologique à la PoW car elle ne nécessite pas une puissance de calcul aussi importante, mais elle peut poser des défis pour la distribution initiale de la crypto-monnaie et la création des plots. De plus, la PoC peut être vulnérable à certaines attaques, notamment les attaques de précalcul et les attaques de réattribution de stockage.
Une crypto-monnaie est une forme de monnaie numérique qui peut être utilisée pour effectuer des transactions financières, de manière similaire aux monnaies traditionnelles telles que le dollar ou l'euro.
Les crypto-monnaies fonctionnent sur des réseaux décentralisés tels que la blockchain, qui permettent de sécuriser et de vérifier les transactions. Les crypto-monnaies ont souvent leur propre écosystème et sont échangées sur des plateformes d'échange de crypto-monnaies.
Un token, en revanche, est une unité d'une crypto-monnaie spécifique, généralement créée pour une application ou un service particulier, et qui est généralement émise sur une blockchain existante.
Les tokens peuvent être utilisés pour représenter des actifs tels que des biens immobiliers ou des actions, ou pour donner accès à des produits ou services spécifiques, comme des licences de logiciels ou des produits numériques.
Les tokens peuvent être échangés sur des plateformes d'échange de crypto-monnaies, mais leur valeur peut également être déterminée par des facteurs tels que l'offre et la demande, ainsi que par les fondamentaux de l'application ou du service associé.
En résumé, les crypto-monnaies sont des formes de monnaies numériques décentralisées qui peuvent être utilisées pour effectuer des transactions financières, tandis que les tokens sont des unités d'une crypto-monnaie spécifique qui sont émises pour des applications ou des services spécifiques et peuvent représenter des actifs ou donner accès à des produits ou services spécifiques.
On y retrouve :
Il existe également d'autres types de tokens qui peuvent avoir des fonctions spécifiques en fonction de leur utilisation, tels que les tokens de récompense, les tokens de vote, les tokens de stockage, etc.
Une crypto-monnaie, également connue sous le nom de monnaie numérique, est une forme de monnaie qui utilise la cryptographie pour sécuriser et vérifier les transactions et pour contrôler la création de nouvelles unités de monnaie. Les crypto-monnaies sont décentralisées, ce qui signifie qu'elles ne sont pas régulées ni contrôlées par une autorité centrale comme une banque centrale ou un gouvernement.
Les crypto-monnaies sont généralement basées sur la technologie de la blockchain, qui est un registre distribué et décentralisé qui enregistre toutes les transactions effectuées sur le réseau. Chaque transaction est vérifiée par un réseau de participants, ou "mineurs", qui utilisent la puissance de traitement de leurs ordinateurs pour résoudre des problèmes mathématiques complexes afin de valider les transactions et d'ajouter des blocs à la chaîne.
Les crypto-monnaies sont souvent échangées sur des plateformes d'échange de crypto-monnaies et peuvent être utilisées pour acheter des biens et des services en ligne ou pour transférer de l'argent à des personnes dans le monde entier, sans l'intermédiaire d'une institution financière traditionnelle.
Les avantages des crypto-monnaies comprennent la sécurité, la transparence et la décentralisation, qui permettent de protéger les transactions contre la fraude et la manipulation, ainsi que de fournir une alternative à la monnaie traditionnelle pour les personnes qui n'ont pas accès aux services financiers traditionnels. Cependant, les crypto-monnaies sont également sujettes à la volatilité des prix et à des risques de sécurité, tels que les piratages et les attaques informatiques.
Néanmoins ces points devrait être corrigé avec le temps et l’utilisation de ces technologies par le plus grand nombre.
L’adoption de masse devrait entraîner la stabilité des prix, pour ce qui est des vulnérabilités potentiellement exploitable de nombreuses reste certainement encore à découvrir cependant les systèmes de consensus permettent également de couvrir ces sujets.
Les attaques par phishing et ingénierie sociale, reste malheureusement les plus efficace, hier, aujourd’hui et demain ; Car l’humain est bien la plus grande faiblesse de l’humain.
Un stablecoin est une forme de crypto-monnaie qui est conçue pour maintenir sa valeur par rapport à une autre monnaie ou à un actif sous-jacent, tel que l'or ou le dollar américain. Contrairement aux autres crypto-monnaies telles que le Bitcoin ou l'Ethereum, qui sont sujettes à des fluctuations de prix importantes.
Les stablecoins sont conçus pour offrir une stabilité des prix et une prévisibilité des valeurs.
Il existe différents types de stablecoins, mais la plupart fonctionnent selon un modèle qui consiste à maintenir une réserve d'une autre monnaie ou d'un actif sous-jacent. Par exemple, certains stablecoins sont indexés sur le dollar américain, ce qui signifie que leur valeur est liée à celle du dollar américain. D'autres stablecoins peuvent être indexés sur l'or ou sur une autre monnaie stable.
Les stablecoins peuvent être utilisés pour des transactions commerciales, pour des transferts de fonds transfrontaliers, ou comme une forme de garantie pour les prêts dans les protocoles DeFi (finance décentralisée).
Les stablecoins peuvent également offrir une alternative à la monnaie fiduciaire traditionnelle pour les personnes qui ne font pas confiance aux systèmes financiers traditionnels ou qui veulent éviter la volatilité des autres crypto-monnaies.
Voici une liste non exhaustive des principaux stablecoins existants aujourd'hui, classés par type de garantie :
Un des rôles les plus courants des stablecoins est celui de valeur de retrait lors d'opérations de trading, cela permet d'échanger des crypto-actifs volatils contre un crypto-actif non volatile afin d'éviter de sortir d'une plate-forme ou de retourner en monnaie fiduciaire. Notamment si on souhaite revoir ses positions.
Il existe également d'autres types de stablecoins qui ne correspondent pas à ces catégories, comme les stablecoins hybrides adossés à plusieurs types de garanties, les stablecoins régulés par des banques centrales.
Cependant, il convient de noter que les stablecoins ne sont pas sans risques et peuvent également être soumis à des fluctuations de prix ou à des risques quant à la garantie des fonds, d’où la nécessité de réaliser des audits chez les structures proposant ce type d’actif.
En cela les législations sur le secret des affaires et la complexité de certains montage fiscaux sont des problèmes car ils empêchent la transparence nécessaire pour établir la confiance dans un actif.
Un utility coin, également appelé token utilitaire, est un type de crypto-monnaie ou de jeton qui a une utilité ou une fonction spécifique au sein d'un écosystème de blockchain ou d'une application décentralisée (dApp). Contrairement aux stablecoins ou aux crypto-monnaies qui visent à être un moyen de paiement ou un réservoir de valeur, les utility coins ont une utilité pratique dans l'écosystème pour lequel ils ont été conçus.
Par exemple, les utility coins peuvent être utilisés pour accéder à des fonctionnalités spécifiques d'une application décentralisée, pour acheter des produits ou des services numériques, ou pour récompenser les utilisateurs pour leur participation ou leur contribution à l'écosystème. Ils peuvent également être utilisés pour voter sur des propositions ou pour prendre des décisions collectives au sein d'une communauté.
Les utility coins sont souvent émis lors d'une levée de fonds initiale, appelée ICO (Initial Coin Offering), au cours de laquelle les investisseurs peuvent acheter des jetons en échange de crypto-monnaies telles que le Bitcoin ou l'Ethereum. Les fonds levés lors de l'ICO sont ensuite utilisés pour financer le développement de l'écosystème ou de l'application décentralisée.
Les utility coins peuvent être échangés sur des plateformes d'échange de crypto-monnaies, mais leur valeur dépend souvent de l'adoption et de l'utilisation de l'écosystème ou de l'application décentralisée pour laquelle ils ont été conçus. Par conséquent, les utility coins peuvent être sujets à une volatilité des prix plus importante que les stablecoins ou les crypto-monnaies traditionnelles.
Un NFT est un jeton non fongible, ce qui signifie qu'il est unique et ne peut pas être échangé contre un autre jeton de même valeur. Contrairement aux autres cryptomonnaies, qui ont une valeur égale pour chaque unité, chaque NFT est unique et peut représenter une œuvre d'art numérique, une vidéo, un morceau de musique, un tweet, une collection de cartes à collectionner ou tout autre objet numérique.
Les NFT sont créés sur des blockchains, notamment Ethereum, Binance Smart Chain, Flow, Solana et d'autres. La blockchain Ethereum est actuellement la plus utilisée pour les NFT, car elle est la plus mature et offre des fonctionnalités avancées pour la création et la gestion de NFT.
Les NFT peuvent représenter une grande variété de choses, comme mentionné ci-dessus. Par exemple, une œuvre d'art numérique peut être transformée en un NFT unique et vendue aux enchères sur une plateforme de marché NFT. Les collectionneurs peuvent acheter des NFT pour posséder un objet unique et rare dans le monde numérique, et ces NFT peuvent potentiellement prendre de la valeur au fil du temps en fonction de la demande du marché.
Bien que les NFT soient des actifs numériques, ils peuvent avoir un impact sur le monde réel de plusieurs façons.
Tout d'abord, les NFT peuvent être utilisés pour la vente et l'achat d'objets de collection numériques, tels que des œuvres d'art, des vidéos et des jeux vidéo. Les NFT permettent aux artistes et aux créateurs de monétiser leur travail de manière plus efficace et de garder le contrôle sur leur propriété intellectuelle. En outre, les NFT peuvent faciliter la vente de biens numériques uniques, rares ou historiques, ce qui peut aider à préserver la culture et l'histoire numériques.
De plus, les NFT peuvent être utilisés pour représenter des actifs du monde réel, tels que des propriétés immobilières, des voitures de luxe et des bijoux, ce qui peut aider à simplifier et à sécuriser les transactions. Par exemple, un bien immobilier peut être représenté par un NFT unique, qui peut être acheté, vendu et transféré sur une blockchain.
Les NFT peuvent également être utilisés pour les jeux vidéo, où ils peuvent représenter des objets de jeu uniques, des personnages, des armes et des compétences. Les joueurs peuvent acheter et vendre des NFT dans des jeux, ce qui peut stimuler l'économie du jeu et donner aux joueurs plus de contrôle sur leur expérience de jeu.
Enfin, les NFT peuvent avoir des applications dans les domaines de l'éducation, de la santé et de la recherche. Par exemple, les NFT peuvent être utilisés pour représenter des diplômes et des certificats, des données médicales et des résultats de recherche, ce qui peut aider à prévenir la fraude et à garantir l'authenticité des informations.
Un portefeuille (wallet) est un logiciel ou un service en ligne qui stocke les clés privées qui permettent à un utilisateur d'accéder à ses crypto-monnaies. Il permet également à l'utilisateur d'envoyer et de recevoir des crypto-monnaies en utilisant les adresses publiques associées à ses clés privées.
L’adresse publique (clé publique) sert à recevoir des crypto-monnaies.
La clé privé (qui n’est pas une adresse) sert à signer des transactions.
La clé privé ne doit jamais être divulgué à qui ou quoi que ce soit.
Avant de démarrer, il est bon de préciser qu’on peut classifier les wallets, dans deux grandes catégories :
Il existe plusieurs types de portefeuilles, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients. Les différents types de portefeuilles comprennent :
Vous l’aurez compris, il existe de nombreuses possibilités pour stocker ses crypto-monnaies, elles présentent toutes des avantages et inconvénients. Il est de votre responsabilité de choisir la bonne, en fonction du contexte et de votre utilité.
Une ICO (Initial Coin Offering) est une méthode de financement pour les projets de crypto-monnaie. Cela fonctionne de manière similaire à une IPO (Initial Public Offering) dans le cadre des entreprises traditionnelles, mais au lieu de vendre des actions, les investisseurs achètent des jetons numériques (tokens) qui représentent une partie du projet ou de la nouvelle crypto-monnaie.
Les ICO sont souvent lancées par des startups qui cherchent à lever des fonds pour développer leurs projets de blockchain. Le processus de l'ICO implique généralement la création d'un livre blanc (white paper) qui explique le projet et sa proposition de valeur pour les investisseurs potentiels. Ce livre blanc comprendra souvent des détails sur la technologie sous-jacente, l'équipe de développement, le plan de financement, le calendrier de développement et les récompenses proposées pour les investisseurs.
Une fois que le livre blanc a été publié, l'entreprise lancera la vente de ses jetons numériques sur une plateforme de trading. Les investisseurs intéressés peuvent alors acheter ces jetons en utilisant d'autres crypto-monnaies telles que Bitcoin ou Ethereum, ou dans certains cas, en utilisant des devises fiduciaires telles que le dollar américain ou l'euro.
Le montant que l'entreprise souhaite collecter et le nombre de jetons émis est déterminé à l'avance, et les investisseurs achètent les jetons dans l'espoir que la valeur des jetons augmentera à mesure que le projet se développe. Si le projet réussit, les investisseurs pourront réaliser un bénéfice en vendant leurs jetons sur des plateformes d'échange de crypto-monnaie.
Il est important de noter que les ICO peuvent comporter des risques importants pour les investisseurs, car de nombreuses ICO ont été associées à des pratiques frauduleuses, telles que des arnaques pyramidales ou des escroqueries visant à récolter de l'argent pour des projets fictifs. Il est donc important de faire ses propres recherches et d'être très prudent lors de l'investissement dans des ICO.
La blockchain Ethereum est une plateforme de développement de contrats intelligents décentralisés qui permet aux développeurs de créer et de déployer des applications décentralisées (DApps) qui s'exécutent sur une blockchain.
Ethereum a été créé en 2015 par Vitalik Buterin, un développeur canadien-russe, qui a commencé à travailler sur Ethereum en 2013.
Buterin était auparavant impliqué dans le développement de Bitcoin, mais il a vu des limitations dans le fonctionnement de Bitcoin et a voulu créer une plateforme plus flexible et plus ouverte pour les applications blockchain.
La vision de Buterin était de créer une plateforme qui permettrait aux développeurs de construire des applications décentralisées qui iraient au-delà des simples transactions de cryptomonnaies.
Ethereum a introduit la notion de « contrats intelligents », qui sont des programmes informatiques autonomes qui peuvent être exécutés sur la blockchain Ethereum. Les contrats intelligents permettent aux développeurs de créer des applications décentralisées qui peuvent gérer des transactions plus complexes, telles que la vente de biens immobiliers, l'assurance, les prêts et les votes électroniques.
Ethereum fonctionne grâce à une cryptomonnaie appelée Ether (ETH), qui est utilisée pour payer les frais de transaction et pour inciter les mineurs à sécuriser la blockchain. Les mineurs vérifient les transactions sur la blockchain Ethereum et reçoivent une récompense en ETH pour leur travail.
Le fonctionnement de la blockchain Ethereum est similaire à celui de la blockchain Bitcoin. Cependant, Ethereum utilise une méthode de consensus appelée Proof of Stake (PoS) qui est différente de la méthode Proof of Work (PoW) utilisée par Bitcoin. Avec PoS, les mineurs ne sont pas nécessaires pour sécuriser la blockchain, mais plutôt les détenteurs de tokens Ethereum, appelés validateurs, qui fournissent de l'Ether comme garantie pour aider à vérifier les transactions.
En plus des contrats intelligents, Ethereum a également permis le développement de tokens ERC-20, qui sont des jetons construits sur la blockchain Ethereum et qui peuvent être échangés contre de l'Ether. Les tokens ERC-20 ont permis le développement de milliers de projets de cryptomonnaies, tels que Chainlink, Binance Coin et Tether.
En conclusion, Ethereum est une plateforme blockchain qui permet aux développeurs de créer des applications décentralisées et des contrats intelligents. Son fondateur, Vitalik Buterin, a ouvert la voie à une nouvelle ère de développement blockchain qui va au-delà de la simple transaction de cryptomonnaies. Avec son système de contrats intelligents et de tokens ERC-20, Ethereum est devenu un pilier de l'écosystème de la cryptomonnaie et a permis le développement de milliers de projets innovants.
Un smart contract (contrat intelligent) est un programme informatique qui exécute automatiquement des termes d'un contrat lorsqu'une condition prédéfinie est remplie. Les smart contracts fonctionnent sur la blockchain Ethereum et sont souvent utilisés pour automatiser des transactions financières ou pour régler des contrats entre des parties sans avoir besoin d'un tiers de confiance.
Les smart contracts sont autonomes et auto-exécutables, ce qui signifie que les termes du contrat sont programmés dans le code et qu'une fois que les conditions sont remplies, les transactions sont effectuées sans intervention humaine. Ils sont également immuables, ce qui signifie que les termes du contrat ne peuvent pas être modifiés une fois qu'ils ont été enregistrés sur la blockchain.
Par exemple, un smart contract peut être utilisé pour régler automatiquement un paiement lorsque certaines conditions sont remplies, comme un délai d'échéance ou la réception d'un produit ou d'un service spécifique. Le contrat peut également être utilisé pour régler des différends entre les parties, en vérifiant que toutes les conditions du contrat ont été respectées avant que les fonds ne soient débloqués.
Les smart contracts ont le potentiel de réduire les coûts et les délais liés aux transactions commerciales, ainsi que de garantir une plus grande transparence et sécurité dans les contrats. Ils sont utilisés dans de nombreux domaines, notamment dans les transactions financières, l'immobilier, la logistique, l'assurance et les jeux en ligne.
Le gas est une unité de mesure qui quantifie la quantité de travail qu'un nœud doit effectuer pour exécuter une transaction ou un contrat intelligent sur la blockchain Ethereum.
Il est utilisé pour déterminer les frais que les utilisateurs doivent payer pour exécuter des transactions ou des contrats intelligents.
Chaque opération effectuée dans un contrat intelligent, telle que l'envoi de données à une adresse Ethereum, le stockage de données sur la blockchain Ethereum ou l'exécution d'une fonction, a un coût en gas. Ce coût est déterminé par la complexité de l'opération et par la quantité de ressources informatiques nécessaires pour l'exécuter. Les opérations plus complexes nécessitent plus de gas pour être exécutées.
Le coût total de l'exécution d'une transaction ou d'un contrat intelligent est déterminé par la somme des coûts en gas de chaque opération. Les utilisateurs doivent payer ce coût total en Ether pour que les mineurs puissent vérifier et ajouter la transaction à la blockchain Ethereum.
Le calcul exact des frais de gas est déterminé par le marché en temps réel et peut varier en fonction de la demande et de l'offre de ressources de calcul sur la blockchain Ethereum. Les utilisateurs peuvent définir un prix de gas (exprimé en gwei) pour leur transaction afin d'inciter les mineurs à traiter leur transaction plus rapidement. Les mineurs peuvent alors choisir de traiter les transactions en fonction du prix de gas proposé par l'utilisateur.
1 ETH = 1,000,000,000 gwei
Pour suivre les frais de transaction sur la blockchain Ethereum, c’est ici : https://etherscan.io/gastracker
En résumé, le gas est une unité de mesure qui quantifie le coût en ressources informatiques pour exécuter une transaction ou un contrat intelligent sur la blockchain Ethereum. Les frais de gas sont déterminés par le coût en gas de chaque opération effectuée dans le contrat intelligent et sont payés en Ether par les utilisateurs. Le prix de gas est déterminé par le marché et peut varier en fonction de l'offre et de la demande de ressources de calcul sur la blockchain Ethereum.
Une DAO (Decentralized Autonomous Organization) est une organisation décentralisée et autonome qui fonctionne sur la blockchain, sans l'intervention d'une autorité centrale ou d'un tiers de confiance. Elle est gérée par un ensemble de règles et de contrats intelligents (smart contracts) qui permettent aux membres de prendre des décisions de manière transparente et démocratique. Les membres peuvent proposer des idées, voter sur des propositions et exécuter des décisions en utilisant la crypto-monnaie native de la DAO.
Une LAO (Limited Autonomous Organization) est une forme de DAO qui est structurée comme une entité juridique à responsabilité limitée, c'est-à-dire qu'elle offre une protection limitée aux membres en cas de poursuites judiciaires ou de faillite. Contrairement à une DAO traditionnelle qui est simplement une organisation décentralisée, une LAO est une entité légale avec une personnalité juridique reconnue, qui peut interagir avec des entités juridiques traditionnelles.
Les LAO sont souvent utilisées pour financer des projets ou des entreprises en utilisant des fonds collectifs. Les membres de la LAO investissent des fonds dans des projets qu'ils jugent prometteurs, et les bénéfices sont partagés entre les membres en fonction de leur participation initiale.
Les LAO peuvent être utilisées dans une variété de domaines, tels que la technologie, l'immobilier, l'art et la musique. Elles ont été pensé pour une forme juridique en adéquation avec la jurisprudence américaine.
Les DAO et les LAO sont des innovations clés de la blockchain, car elles offrent une alternative aux organisations traditionnelles centralisées et hiérarchiques. Elles permettent aux membres de prendre des décisions de manière transparente et démocratique, tout en offrant une sécurité et une protection juridique limitées aux membres. Cependant, il convient de noter que les DAO et les LAO sont encore en développement, et qu'elles peuvent être soumises à des risques tels que les failles de sécurité ou les décisions malveillantes des membres.
Cryptocurrency is a secure and transparent digital exchange tool which guarantees the proper conduct of transactions while maximizing their level of security and the traceability of exchanges.
Between you and your customer, no more intermediaries.
This course is designed for beginners who want to discover the terms commonly used in the field of blockchain and the concepts behind them. The guide is available in PDF form which can be downloaded here.
I have also written a set of sheets around different crypto projects, these can be viewed and downloaded.
The history of the Internet dates back to the 1960s, when the US Department of Defense, through its advanced research agency DARPA, began looking for ways to connect computers together. The aim was to enable researchers to share data and communicate more easily.
In 1969, the ARPANET was created, linking four American universities. It was a data packet transmission network that allowed computers to communicate with each other. This network is considered to be the precursor of the Internet.
Over the years, the ARPANET expanded and developed. In 1983, a communications protocol called TCP/IP was developed to enable computers on different networks to communicate with each other. This protocol laid the foundations for the Internet as we know it today.
One of the main contributors to the development of the Internet was British scientist Tim Berners-Lee, who created the World Wide Web in 1989. This invention made the Internet more accessible and user-friendly for non-technical users.
Although we are now used to wireless use of the Internet, we must not lose sight of the fact that it relies on a very physical and tangible infrastructure. However, we must not lose sight of the fact that this relies on a very physical and tangible infrastructure, the key elements of which are as follows:
Today's web is mainly based on a client-server architecture. When a user accesses a website, their browser sends a request to a web server to obtain the data needed to display the site. The web server processes the request and sends a response containing the requested data to the user's browser.
Website content is generally created using mark-up languages (page layout) such as HTML, CSS and JavaScript. HTML is used to describe the structure of the page, CSS to define appearance and style, and JavaScript to add dynamic and interactive features.
Modern websites also use client-side frameworks and libraries, such as React, Angular and Vue.js, to simplify development and offer advanced functionality.
However, this client-server architecture is often centralised, meaning that a small number of companies or organisations control the majority of content and data on the web.
Services such as Google, Facebook, Amazon and Twitter have become major players on the web, offering a variety of services and features to billions of users worldwide.
While these companies offer benefits such as a smooth user experience and convenience, they are also vulnerable to hacking attacks and can potentially misuse user data.
This is where blockchain technology comes in. Blockchain is a decentralised digital ledger that enables data to be stored and transferred transparently, securely and censorship-proof.
Unlike the centralised web, the blockchain has no central point of control, but is instead managed by a network of participants who validate transactions and maintain the register.
The decentralised web based on blockchain offers greater security and resistance to censorship, as there is no single point of vulnerability.
Data is stored in a distributed manner across a large number of nodes, making the system resistant to malicious attacks. What's more, users have total control over their data, as they can choose to store and share it selectively.
However, the decentralised web is still under development and presents challenges in terms of usability and ease of use.
Blockchain-based applications are often slower and more expensive to use than traditional centralised applications, and the user interface can be harder for novice users to understand.
Ultimately, the choice between centralised and decentralised web depends on the needs and preferences of each user.
The security and censorship-resistance benefits of the decentralised web need to be balanced with the convenience and user-friendliness of the centralised web, all based on a common infrastructure.
Cryptography is the art of protecting messages by making them difficult to understand for anyone who does not have the key to decipher them. It has been used for thousands of years to protect diplomatic, military, commercial and journalistic secrets.
The history of cryptography dates back to antiquity, when rudimentary methods were used to hide messages. The Greeks, for example, used the scytale, a cylindrical stick around which the message was wrapped, to protect it from enemy spies.
However, it was during the Renaissance that cryptography made significant progress, thanks to figures such as Blaise de Vigenère and Johannes Trithemius. In 1466, Trithemius published "Polygraphia", a book detailing cryptographic techniques for protecting communications. Vigenère, for his part, created a polyalphabetic encryption system that would bear his name.
In the 20th century, cryptography underwent a revolution thanks to the use of machines to encrypt messages. The Enigma machine used by Nazi Germany during the Second World War became famous for having been decrypted by the Allies thanks to the work of cryptanalysts such as Alan Turing.
Since the 1970s, cryptography has undergone unprecedented development thanks to the advent of computers and the Internet. Modern encryption algorithms, such as RSA and AES, are based on complex mathematics and are used to secure communications on the Internet.
Cypherpunks are a group of individuals who emerged in the 1980s and 1990s and played an important role in the development of modern cryptography and online privacy.
They were motivated by the idea that privacy was a fundamental right and that cryptography was a means of preserving that privacy in an increasingly digital world. They believed that the use of cryptography could allow individuals to communicate freely and anonymously, without fear of surveillance or censorship.
Cypherpunks developed encryption software such as Pretty Good Privacy (PGP), which allowed users to encrypt their electronic communications. They also created anonymous networks such as Tor, which allowed users to surf the Internet without being tracked.
They also played a role in the development of cryptocurrency, with group members such as Wei Dai proposing ideas for anonymous digital currencies as early as the 1990s. Satoshi Nakamoto, the creator of Bitcoin, was also influenced by the ideas of the cypherpunks when he developed the first decentralised cryptocurrency, Bitcoin.
Cryptography plays a central role in blockchain, it is the underlying technology of many cryptocurrencies such as Bitcoin and Ethereum. Cryptography is used to guarantee the integrity and security of transactions recorded on the network.
More specifically, the blockchain uses a cryptographic hash algorithm to secure blocks of transactions. Each block contains a unique cryptographic hash that is calculated using data from the previous block and new transactions added to the block. This mechanism creates a chain of blocks containing a sequence of cryptographic hashes that are all linked to each other. This ensures that blocks cannot be modified without altering all the subsequent cryptographic hashes.
The blockchain also uses cryptography to validate transactions. Transactions are signed using cryptographic private and public keys. Public keys are used to receive funds, while private keys are used to sign transactions and prove ownership of funds. This asymmetric cryptographic method guarantees the authenticity of transactions without revealing the private key.
The blockchain also uses consensus mechanisms based on cryptography to guarantee the validity of transactions. For example, the Proof of Work (PoW) consensus mechanism uses computing power to solve complex mathematical problems. This process of solving mathematical problems uses cryptography to guarantee the security and integrity of the blockchain.
In short, cryptography plays a crucial role in the security and integrity of the blockchain. Without cryptography, the blockchain would not be able to guarantee the confidentiality, authenticity and security of transactions.
The blockchain is a decentralised ledger that is shared and managed by a network of nodes that work together to validate transactions.
Each node has a copy of the blockchain and checks each transaction to ensure that it is valid before recording it on the blockchain. Once a transaction is recorded on the blockchain, it cannot be modified or deleted, creating an immutable and transparent database.
The blockchain uses cryptographic algorithms to ensure that transactions are secure and tamper-proof. Each transaction is verified by a consensus process, which involves several nodes working together to validate the transaction and ensure that each node on the blockchain is synchronised with the others.
Blockchain users have complete control over their data, as they can choose to store their data decentrally on the blockchain, rather than entrusting it to a central authority. Users can also choose to share their data selectively, using encryption keys to control access to their data.
The centralised web is based on the idea of a central authority controlling and managing data and transactions. This can pose problems in terms of security, confidentiality and freedom, as the central authority can be vulnerable to attack and can potentially misuse user data.
The concept of blockchain has the potential to transform society by creating more transparent, censorship-resistant and decentralised systems. Here are just a few examples of its potential role in society:
However, it is important to note that blockchain is not a silver bullet and also presents challenges and limitations, particularly in terms of scalability (spreading the load of use across the network), usability and governance. It is therefore important to weigh up the advantages and disadvantages of blockchain in each specific use case.
There are several types of blockchain, the main ones being as follows:
These different types of blockchain have specific features and benefits, depending on the needs and objectives of the organisation or project.
The blockchain is a decentralised transaction and validation system, which operates using nodes (or computers) throughout the network. Here's how it works in detail:
The blockchain is secure thanks to the decentralised nature of its network and the use of cryptography. Each block contains a unique hash code that links it to the previous block. This makes the blockchain immutable and ensures that all transactions are permanently recorded on the blockchain.
In short, the blockchain uses a decentralised validation and transaction system that allows network participants to verify and validate transactions transparently and immutably in a secure manner.
Consensus is a crucial element in blockchain because it ensures that the data on the blockchain is accurate, secure and transparently verified.
Consensus enables the various actors on the blockchain, such as miners, validators and nodes, to agree on the state of the blockchain by verifying transactions and validating new blocks.
Consensus is necessary because the blockchain is a decentralised database that does not depend on a central authority to verify transactions. Instead, the different actors in the blockchain work together to validate transactions and create new blocks.
If the consensus algorithm fails to reach a consensus between the nodes on the network, this can cause the blockchain to fork, creating two or more separate blockchains that develop in parallel.
In such a situation, network miners may continue to work on both chains, creating two different versions of the blockchain. This can lead to a split in the community, as some users may choose to follow one chain rather than another, which can lead to a loss of trust in the blockchain.
To avoid this, most blockchain protocols have mechanisms to resolve divergences and forks. For example, in the case of Bitcoin, the rule is that the longest chain is considered the valid chain.
Miners are incentivised to work on the longest chain because this allows them to earn more rewards in blocks. In this way, the community is able to reach a consensus on the legitimate version of the blockchain.
In the world of blockchain, there are different types of mining, depending on the consensus algorithm used by the blockchain in question. The three most common types of mining are Proof of Work, Proof of Stake and Proof of Capacity.
There are also other types of consensus, such as Proof of Time, Proof of Vote and Proof of Contribution, which are used by certain blockchains to guarantee the security and reliability of their transactions.
Each type of consensus has its advantages and disadvantages, and the choice of consensus algorithm often depends on the specific objectives of the blockchain in question.
Proof of work (PoW) is a consensus system used in many blockchains, including Bitcoin. The principle of proof of work is to use the computing power of computers to solve complex mathematical problems and validate transactions, which are then integrated into new blocks and added to the blockchain. This process is known as mining.
In the PoW system, the miners (the users who provide the computing power) are tasked with finding a solution to a complex mathematical problem. This problem is designed to be difficult to solve, but easy to verify once the solution has been found. To solve the problem, the miners must perform millions of calculations per second until they find the solution.
The difficulty of the problem is adjusted so that it is not solved too quickly. The aim is to maintain an average block time (the time taken to validate a block) of around 10 minutes. If the miners solve the problem too quickly, the difficulty is increased. If the miners take too long to solve the problem, the difficulty is reduced.
When a miner finds the solution to the mathematical problem, he submits it to the network for verification. The other miners check the solution to make sure it is correct, and if it is, the miner who found the solution is rewarded with a quantity of crypto-currency. At the same time, the new block containing the transactions validated by the miner is added to the blockchain.
Proof of stake (PoS) is another consensus system used in some blockchains. Unlike proof-of- work (PoW), proof-of-stake is not based on computing power, but on holding a certain amount of crypto-currency.
In PoS, validators (instead of miners in PoW) are selected based on the amount of crypto- currency they have "staked" or "staked". When validators hold a certain amount of crypto- currency, they have a financial interest in maintaining the security and integrity of the blockchain.
To become a validator, therefore, you need to own a certain amount of the blockchain's crypto- currency. Validators are then randomly selected to validate blocks and add new transactions to the blockchain.
Validators who successfully add a valid block are rewarded with transaction fees and a share of the new crypto-currency units created in that block.
When validators attempt to cheat or compromise the security of the blockchain, they risk losing their stake (i.e. the amount of crypto-currency they have staked to become a validator). This encourages them to act responsibly and maintain the security of the blockchain.
Proof-of-stake is often seen as a more energy-efficient and environmentally friendly alternative to proof-of-work, as it does not require as much computing power as proof-of-work. However, it can pose challenges for the initial distribution of the crypto-currency and the selection of validators.
Proof of capacity (PoC), also known as proof of space, is an alternative consensus system to proof of work (PoW) and proof of stake (PoS) used in some blockchains.
Unlike PoW, which requires significant computing power, and PoS, which requires holding a certain amount of crypto-currency, PoC uses the storage capacity available on a hard drive to secure the blockchain.
In a PoC system, the miners (or "provers") allocate part of their storage space to store a large quantity of random data called "plots".
These plots are used to solve a specific hashing algorithm that finds a valid solution for adding a new block to the blockchain. Miners who solve the hash algorithm the fastest are rewarded with transaction fees and new crypto currency units created in that block.
The process of creating plots can take time and require a large amount of storage. Once the plots are created, storage usage is reduced and energy consumption is relatively low.
PoC is considered a greener alternative to PoW as it does not require as much computing power, but it can pose challenges for the initial distribution of the crypto-currency and the creation of the studs. In addition, PoC can be vulnerable to certain attacks, including precomputation attacks and storage reallocation attacks.
A crypto-currency is a form of digital currency that can be used to carry out financial transactions, in a similar way to traditional currencies such as the dollar or the euro.
Crypto-currencies operate on decentralised networks such as the blockchain, which allow transactions to be secured and verified. Crypto-currencies often have their own ecosystem and are traded on crypto-currency exchange platforms.
A token, on the other hand, is a unit of a specific crypto-currency, usually created for a particular application or service, and which is usually issued on an existing blockchain.
Tokens can be used to represent assets such as property or shares, or to provide access to specific products or services, such as software licences or digital products.
Tokens can be traded on crypto-currency exchange platforms, but their value can also be determined by factors such as supply and demand, as well as the fundamentals of the associated application or service.
In summary, crypto-currencies are forms of decentralised digital currencies that can be used to carry out financial transactions, while tokens are units of a specific crypto-currency that are issued for specific applications or services and can represent assets or provide access to specific products or services.
They include :
There are also other types of token which may have specific functions depending on their use, such as reward tokens, voting tokens, storage tokens, etc.
A crypto-currency, also known as digital currency, is a form of money that uses cryptography to secure and verify transactions and to control the creation of new units of currency. Crypto- currencies are decentralised, meaning that they are not regulated or controlled by a central authority such as a central bank or government.
Crypto-currencies are generally based on blockchain technology, which is a distributed, decentralised ledger that records all transactions made on the network. Each transaction is verified by a network of participants, or 'miners', who use the processing power of their computers to solve complex mathematical problems to validate transactions and add blocks to the chain.
Crypto-currencies are often traded on crypto-currency exchange platforms and can be used to buy goods and services online or to transfer money to people around the world, without the intermediary of a traditional financial institution.
The advantages of crypto-currencies include security, transparency and decentralisation, which help to protect transactions from fraud and manipulation, as well as providing an alternative to traditional currency for people who do not have access to traditional financial services. However, crypto-currencies are also subject to price volatility and security risks, such as hacking and cyber- attacks.
Nevertheless, these points should be corrected with time and the use of these technologies by as many people as possible.
Mass adoption should lead to price stability, but many potentially exploitable vulnerabilities have yet to be discovered, although consensus systems can also cover these issues.
Attacks by phishing and social engineering are unfortunately still the most effective, yesterday, today and tomorrow; because the human is indeed the biggest weakness of the human.
A stablecoin is a form of crypto-currency that is designed to maintain its value against another currency or underlying asset, such as gold or the US dollar. Unlike other crypto-currencies such as Bitcoin or Ethereum, which are subject to significant price fluctuations.
Stablecoins are designed to offer price stability and predictability of value.
There are different types of stablecoin, but most operate on a model of maintaining a reserve of another currency or underlying asset. For example, some stablecoins are pegged to the US dollar, meaning that their value is linked to the value of the US dollar. Other stablecoins may be pegged to gold or another stable currency.
Stablecoins can be used for commercial transactions, for cross-border fund transfers, or as a form of collateral for loans in DeFi (decentralised finance) protocols.
Stablecoins can also offer an alternative to traditional fiat money for people who don't trust traditional financial systems or who want to avoid the volatility of other crypto-currencies.
Here is a non-exhaustive list of the main stablecoins in existence today, classified by type of collateral:
One of the most common roles of stablecoins is that of a withdrawal value during trading operations, which allows volatile crypto-assets to be exchanged for a non-volatile crypto-asset inorder to avoid exiting a platform or returning to fiat currency. Particularly if you want to review your positions.
There are also other types of stablecoin that do not fit into these categories, such as hybrid stablecoins backed by several types of collateral and stablecoins regulated by central banks.
However, it should be noted that stablecoins are not risk-free and may also be subject to price fluctuations or risks relating to the guarantee of funds, hence the need for audits of structures offering this type of asset.
In this, legislation on business secrecy and the complexity of certain tax arrangements are problems, as they prevent the transparency needed to establish confidence in an asset.
A utility coin, also known as a utility token, is a type of crypto-currency or token that has a specific utility or function within a blockchain ecosystem or decentralised application (dApp). Unlike stablecoins or crypto-currencies, which aim to be a means of payment or a store of value, utility coins have a practical use in the ecosystem for which they were designed.
For example, utility coins can be used to access specific features of a decentralised application, to purchase digital products or services, or to reward users for their participation in or contribution to the ecosystem. They can also be used to vote on proposals or to make collective decisions within a community.
Utility coins are often issued at an initial fundraising event, known as an ICO (Initial Coin Offering), where investors can buy tokens in exchange for crypto-currencies such as Bitcoin or Ethereum. The funds raised during the ICO are then used to finance the development of the ecosystem or decentralised application.
Utility coins can be traded on crypto-currency exchange platforms, but their value often depends on the adoption and use of the decentralised ecosystem or application for which they were designed. As a result, utility coins can be subject to greater price volatility than stablecoins or traditional crypto-currencies.
An NFT is a non-fungible token, which means that it is unique and cannot be exchanged for another token of the same value. Unlike other cryptocurrencies, which have an equal value for each unit, each NFT is unique and can represent a piece of digital art, a video, a piece of music, a tweet, a collection of trading cards or any other digital object.
NFTs are created on blockchains including Ethereum, Binance Smart Chain, Flow, Solana and others. The Ethereum blockchain is currently the most widely used for NFTs, as it is the most mature and offers advanced features for creating and managing NFTs.
NFTs can represent a wide variety of things, as mentioned above. For example, a piece of digital art can be transformed into a single NFT and auctioned on an NFT marketplace platform. Collectors can buy NFTs to own something unique and rare in the digital world, and these NFTs can potentially increase in value over time depending on market demand.
Although NFTs are digital assets, they can have an impact on the real world in a number of ways.
Firstly, NFTs can be used to buy and sell digital collectibles such as artworks, videos and video games. NFTs allow artists and creators to monetise their work more effectively and retain control over their intellectual property. In addition, NFTs can facilitate the sale of unique, rare or historic digital assets, which can help preserve digital culture and history.
In addition, NFTs can be used to represent real-world assets, such as real estate, luxury cars and jewellery, which can help to simplify and secure transactions. For example, a property can be represented by a single NFT, which can be bought, sold and transferred on a blockchain.
NFTs can also be used for video games, where they can represent unique game objects, characters, weapons and skills. Players can buy and sell NFTs in games, which can boost the game economy and give players more control over their gaming experience.
Finally, NFTs can have applications in education, health and research. For example, NFTs can be used to represent diplomas and certificates, medical data and research results, which can help prevent fraud and guarantee the authenticity of information.
A wallet is software or an online service that stores the private keys that allow a user to access their crypto-currencies. It also allows users to send and receive crypto-currencies using the public addresses associated with their private keys.
The public address (public key) is used to receive crypto-currencies.
The private key (which is not an address) is used to sign transactions.
The private key must never be divulged to anyone or anything.
Before getting started, it's worth pointing out that wallets can be classified into two broad categories:
There are several types of portfolio, each with its own advantages and disadvantages. The different types of portfolio include :
As you will have realised, there are many ways of storing your crypto-currencies, and they all have their advantages and disadvantages. It's up to you to choose the right one, depending on the context and your needs.
An ICO (Initial Coin Offering) is a funding method for crypto-currency projects. It works in a similar way to an IPO (Initial Public Offering) for traditional companies, but instead of selling shares, investors buy digital tokens (tokens) that represent a part of the project or new crypto- currency.
ICOs are often launched by startups looking to raise funds to develop their blockchain projects. The ICO process usually involves the creation of a white paper that explains the project and its value proposition to potential investors. This white paper will often include details of the underlying technology, development team, funding plan, development timeline and proposed rewards for investors.
Once the white paper has been published, the company will launch the sale of its digital tokens on a trading platform. Interested investors can then purchase these tokens using other crypto- currencies such as Bitcoin or Ethereum, or in some cases, using fiat currencies such as the US dollar or euro.
The amount the company wishes to raise and the number of tokens issued is determined in advance, and investors buy the tokens in the hope that the value of the tokens will increase as the project develops. If the project is successful, investors will be able to make a profit by selling their tokens on crypto currency exchange platforms.
It is important to note that ICOs can carry significant risks for investors, as many ICOs have been associated with fraudulent practices, such as pyramid schemes or scams to raise money for fictitious projects. It is therefore important to do your own research and to be very careful when investing in ICOs.
The Ethereum blockchain is a decentralised smart contract development platform that allows developers to create and deploy decentralised applications (DApps) that run on a blockchain.
Ethereum was created in 2015 by Vitalik Buterin, a Russian-Canadian developer, who began working on Ethereum in 2013.
Buterin was previously involved in the development of Bitcoin, but saw limitations in how Bitcoin worked and wanted to create a more flexible and open platform for blockchain applications.
Buterin's vision was to create a platform that would allow developers to build decentralised applications that went beyond simple cryptocurrency transactions.
Ethereum introduced the notion of "smart contracts", which are autonomous computer programs that can be run on the Ethereum blockchain. Smart contracts allow developers to create decentralised applications that can handle more complex transactions, such as real estate sales, insurance, loans and electronic voting.
Ethereum is powered by a cryptocurrency called Ether (ETH), which is used to pay transaction fees and to incentivise miners to secure the blockchain. Miners verify transactions on the Ethereum blockchain and receive a reward in ETH for their work.
The Ethereum blockchain works in a similar way to the Bitcoin blockchain. However, Ethereum uses a consensus method called Proof of Stake (PoS), which is different from the Proof of Work (PoW) method used by Bitcoin. With PoS, miners are not needed to secure the blockchain, but rather Ethereum token holders, called validators, who provide Ether as collateral to help verify transactions.
In addition to smart contracts, Ethereum has also enabled the development of ERC-20 tokens, which are tokens built on the Ethereum blockchain that can be exchanged for Ether. ERC-20 tokens have enabled the development of thousands of cryptocurrency projects, such as Chainlink, Binance Coin and Tether.
In conclusion, Ethereum is a blockchain platform that enables developers to create decentralised applications and smart contracts. Its founder, Vitalik Buterin, has paved the way for a new era of blockchain development that goes beyond simple cryptocurrency transactions. With its system of smart contracts and ERC-20 tokens, Ethereum has become a pillar of the cryptocurrency ecosystem and has enabled the development of thousands of innovative projects.
A smart contract is a computer program that automatically executes the terms of a contract when a predefined condition is met. Smart contracts run on the Ethereum blockchain and are often used to automate financial transactions or to settle contracts between parties without the need for a trusted third party.
Smart contracts are autonomous and self-executing, meaning that the terms of the contract are programmed into the code and, once the conditions are met, the transactions are carried out without human intervention. They are also immutable, meaning that the terms of the contract cannot be changed once they have been recorded on the blockchain.
For example, a smart contract can be used to automatically settle a payment when certain conditions are met, such as a due date or the receipt of a specific product or service. The contract can also be used to settle disputes between the parties, by checking that all the conditions of the contract have been met before the funds are released.
Smart contracts have the potential to reduce the costs and time involved in commercial transactions, as well as guaranteeing greater transparency and security in contracts. They areused in a wide range of fields, including financial transactions, real estate, logistics, insurance and online gaming.
Gas is a unit of measurement that quantifies the amount of work a node must perform to execute a transaction or smart contract on the Ethereum blockchain.
It is used to determine the fees that users must pay to execute transactions or smart contracts.
Each operation performed in a smart contract, such as sending data to an Ethereum address, storing data on the Ethereum blockchain or executing a function, has a gas cost. This cost is determined by the complexity of the operation and the amount of computing resources needed to perform it. More complex operations require more gas to be executed.
The total cost of executing a transaction or a smart contract is determined by the sum of the gas costs of each operation. Users must pay this total cost in Ether so that miners can verify and add the transaction to the Ethereum blockchain.
The exact calculation of gas costs is determined by the real-time market and may vary depending on the demand and supply of computing resources on the Ethereum blockchain. Users can set a gas price (expressed in gwei) for their transaction to incentivise miners to process their transaction faster. Miners can then choose to process transactions according to the gas price proposed by the user.
1 ETH = 1,000,000,000 gwei
You can track transaction fees on the Ethereum blockchain here: https://etherscan.io/gastracker
In short, gas is a unit of measurement that quantifies the cost in computing resources of executing a transaction or smart contract on the Ethereum blockchain. Gas fees are determined by the cost in gas of each operation carried out in the smart contract and are paid in Ether by users. The gas price is determined by the market and can vary according to the supply and demand of computing resources on the Ethereum blockchain.
A DAO (Decentralised Autonomous Organisation) is a decentralised, autonomous organisation that operates on the blockchain, without the intervention of a central authority or trusted third party. It is managed by a set of rules and smart contracts that allow members to make decisions transparently and democratically. Members can propose ideas, vote on proposals and execute decisions using the DAO's native crypto-currency.
A LAO (Limited Autonomous Organization) is a form of DAO that is structured as a limited liability legal entity, meaning it offers limited protection to members in the event of legal action or bankruptcy. Unlike a traditional DAO, which is simply a decentralised organisation, an LAO is a legal entity with a recognised legal personality, which can interact with traditional legal entities.
LAOs are often used to finance projects or businesses using collective funds. The members of the LAO invest funds in projects they consider promising, and the profits are shared between the members according to their initial participation.
LAOs can be used in a variety of fields, such as technology, real estate, art and music. They have been designed as a legal form in line with US jurisprudence.
DAOs and LAOs are key blockchain innovations, as they offer an alternative to traditional centralised and hierarchical organisations. They allow members to make decisions transparently and democratically, while offering limited security and legal protection to members. However, it should be noted that DAOs and LAOs are still under development, and may be subject to risks such as security breaches or malicious decisions by members.